El famoso 2004 — Admin
Situation : riche
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Sujet: The world is cruel, but I still love you - mei rika Mei Rika everybody wants to be my enemy... Rika Mei 25 anstravaille dans l'entreprise de la déesse de la luxurefemmeHeliendelHétéro'FidèleRaiden Shogun (Genshin) & Scathach Skadi (Fate) > Your true desire; La bénédiction que tu as hérité de la déesse de la luxure est un pouvoir qui témoigne de cette envie de savoir, ce traumatisme de ne rien savoir. En croisant le regard d'une autre personne, en la fixant, tu peux lui faire dire trois choses; son plus grand secret, son plus grand désir et sa plus grande crainte. Seulement trois choses, que tu peux utiliser à bon escient ou pas du tout. Tu ne peux le faire qu'une fois par personnes dans un laps de temps de 10 minutes. La personne est obligée de répondre de manière honnête, sans moyens de mentir. Tu es difficilement cernable. On ne sait pas si tous tes choix de vie sont faits de ton plein grès, ou si tu te laisses simplement porter par la vie car tu n'as plus rien à perdre. De nature calme, te froisser est difficile, sauf si on tend tes nerfs à outrance. Quand tu es énervée, cela se voit directement; tes joues deviennent rouges, rosées. Tes sourcils se froncent, tes poings se serrent.
Tu peux te montrer impulsive c'est vrai, te laissant guider plutôt par tes émotions plutôt qu'avec ta tête et ta logique. C'est peut être ton défaut le plus grand : ton impulsivité. Mais tu fais avec, et ce qui t'aide à gérer à tes émotions fut, et est encore, la drogue. Tu essayes de calmer ton addiction, arriver à ne plus avoir besoin de ces substances pour gérer tes pensées, mais ce n'est pas si simple que ça, et il arrive que sous le stresse, tu en consommes un peu trop. Tu sais que tu détruis ta santé en faisant cela, qu'au quotidien tu n'es pas dans ton état normal. Mais tu ne sais pas c'est quoi, être en état normal. Tu ne sais pas comment tu peux vivre normalement.
En parallèle, le fait que tu "travailles" pour la déesse de la luxure a mis au jour une partie de toi que tu ne connaissais pas. Le plaisir de la vie. C'est agréable, de se sentir aimée, même si c'est être aimée seulement le temps d'une nuit, avec une personne que tu ne reverras sans doute pas. C'est la vie que tu as décidé de mener... Mais tu sais pas si c'est concrètement ce que tu désires en terme de vie. Talons qui frappent, qui résonnent dans le couloir; c'est toi. Belle jeune femme, grande, atteignant les 1m79. Tu es magnifique; tes cheveux pourpres tombent en bas de ton dos. Parfois, tu les coiffes en une longue tresse, parfois tu les laisses détacher, cela dépend des jours. Tu as un corps quasi parfait. Des formes féminines présentes et mises en valeur assez couramment, des vêtements féminins, sensuels, élégants … Tu sais te mettre en valeur physiquement, tout porte sur le physique chez toi. Tes ongles sont toujours parfaitement faits, tes cheveux éclatants, lisses, soignés, un maquillage qui témoigne d'au moins deux heures dans la salle de bain… Tout est parfait.
Tu as de grands yeux améthystes, ils scintillent, ils sont étincelants. Comme si tu reflétais une certaine motivation à te mouvoir, une motivation à te lever tous les jours. Etait-ce le cas ? Sûrement que oui, sûrement que non. Personne peut réellement daigner savoir ce que tu pensais, à ce jour, de ton existence. De toute façon, rien n'importait, tant que tu étais parfaite physiquement.
Après tout, on t'aimait bien uniquement pour cela, non ?
Certaines personnes vivent sans se poser de questions, d'autres vivent en se posant trop de questions. Pourquoi sommes nous venus au monde ? Pourquoi nos choix de vie nous ont emmené dans cette situation ? Quel est le but de mon existence ?
Tu fais partie de la seconde catégorie.
Ta naissance était banale, deux humains, apparemment faits l'un pour l'autre. Ces histoires à l'eau de rose te donnent la nausée, mais c'était tes parents, du moins, au début. Quand tu étais petite, tu étais choyée et aimée. Tes parents étaient riches, alors tu avais pratiquement ce que tu voulais. Cette petite vie de princesse ne durait pas. Oui, les histoires à l'eau de rose ont toujours des épines qui refont surface un jour ou l'autre.
Ton père avait commis l'adultère. Partant faire ses affaires avec, tu l'avais appris bien plus tard, la déesse de la destruction. Il y avait du sens: cela allait détruire sa fille aînée, sa fille cadette, toute la suite.
Au final, à la naissance de ta sœur… Tu ne l'avais même pas vu. Au final, tu avais juste un prénom : Ibelina. Le physique ? Rien. Les pleures ? Rien. Où était elle partie ? Rien.*
« — Oublie ça, Mei. Tu es trop jeune pour comprendre. »
Ta mère dans tout cela ? C'était une femme amoureuse, alors elle avait pardonné ton père sans broncher. Voilà dans quel contexte familial vivais tu : là où amour et tromperie s'enroulaient comme des épines autour d'une gorge. Ibelina... Où es-tu? Qui es-tu ? Pourquoi as-tu disparu ?
Tu continuais de grandir, ton cerveau lavé par ton père pour que tu oublies l'existence de cette demi-soeur, qui était quelque part, si elle existait réellement. Cela te perturbait oui, comme si une partie de toi manquait, comme si... Il y avait un vide quelque part, et tu ne savais pas comment le combler. Tu ne sais pas d'où vient ce vide depuis le début de ta vie. Tu es étrange, c'est sûrement ça.
Tu avais eu le déclic ce soir là. Tu devais partir du manoir familial pour quelques occupations, chercher quelque chose pour ta mère. La fougue de la jeune t'avait poussée à t'aventurer dans les méandres sombres de la capitale. Sifflements, murmures, paroles... Tu n'étais pas rassurée. Puis tout s'enchaînait :
// sujets sensibles, si vous n'est pas à l'aise avec ça, sautez cette partie jusqu'aux prochains //
Bras liés, poussée contre un mur, des mains baladeuses passaient sous tes vêtements. Tu criais, mais personne ne t'entendait, au final, plus tard, tu avais compris que tu n'avais pas crié. Aucun son n'était sorti de ta bouche, la paralysie avait bloqué tes cordes vocales.
C'était douloureux. Tu pleurais. Un chiffon sur ton nez, une odeur enivrante, tu ne sentais plus rien, ton corps était comme.. Stoppé, pour ton cerveau. Cela devenait presque agréable, même si ces regards d'animaux autour de toi étaient tout sauf agréable. Tu fermais les yeux. Fatigue ? Aucune idée. Tout ce que tu savais, c'était que tu t'étais réveillée dans ton lit, au manoir, sous les regards inquiets de tes parents.
//
« — Elle a été... ? »
Eté quoi ?
En tout cas, quelque chose s'était brisé en toi. Brisé, mais en même temps, tu avais trouvé quelque chose. Cette sensation enivrante, ce plaisir de ne rien ressentir... C'est à partir de là que tu avais gouté, en cachette, à quelques substances peu recommandables.
Tu avais 17 ans.
Vivant avec un certain traumatisme en tête, tu n'avais pas vu les années passer. Elles passaient, sous ton nez, sans que tu ne daignes changer quoi que ce soit à ta vie. Et c'était à tes 21 ans que quelque chose s'était bousculé dans ta tête. Cet accrochage à ces substances, cette envie de rien ressentir t'avait, par l'ironie du sort, poussée à ressentir quelque chose: comme si tu tombais amoureuse de ton cousin... Toutes tes activités illégales, ces substances, ce côté brisé de toi t'avaient immunisé à ressentir la moindre gêne ou la moindre rancune. Tu voulais juste vivre, rien sentir, hormis sentir le plaisir, la vie.
C'est d'ailleurs en suite à cela que tu avais par tu ne sais quelle raison rejoint l'entreprise d'une déesse atypique : Nommée Katyusha, c'était la déesse de la luxure. La luxure... Etait - ce le concept qui te faisait ressentir tout cela ? Aucune idée, mais te voilà embourbée dans une nouvelle situation de vie. Et tu n'étais pas seule, tu avais attiré ton cousin, John, dans toute cette histoire. Dans cette entreprise, gérée par une déesse particulière, tu avais trouvé une vie peu recommandable certes, mais qui rentrait dans cette envie de vivre sans sentir, vivre une certaine débauche, car de toute façon, tu t'es toi-même résumée qu'à ça. ...
« — Avant que tu partes Mei, sache que tu avais bien une petite soeur, qui a 5 ans de moins que toi. Vendue à une secte. Je ne sais pas ce qu'elle est devenue, ni même si elle est encore vivante. Mais voilà, tu avais une soeur. »
Pseudo :: Kaedehara Âge :: 18 ans Comment as-tu découvert le forum :: hihihihihihihi Un commentaire ? :: yeeet. Et le règlement ? :: yeet. ² Kaedehara |
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Jeu 17 Mar - 22:10
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